27 août, 2006

Arrivée sur le campus (24/08)

Une petite demi-heure après notre périlleux voyage à travers l’immense aéroport de Copenhague munis de nos lourds bagages de 20 Kg (un peu plus en fait), nous avons rencontré notre premier buddy (BUDDY : n.m. Being a buddy includes helping your students with practical issues, maybe picking them up at the airport if you can, but also being their friend during their first days in Denmark.) qui nous fait découvrir la vie danoise et qui pour le coup nous a amené au Campus. Enfin arrivés sur notre futur lieu de vie, première impression « c’est grand » pour faire court.



Nous avons commencé par une brève visite du Bâtiment de l’administration, pour nous repérer. Car ce Bâtiment est le centre de toute l’administration du DTU, Relations Internationales, Cantine, Biblio , Banque, Etc.…….


Une fois familiarisés avec les couleurs de notre nouveau campus rouge et en brique de long en large, nous avons pris la direction de Campsax, mais avec un K comme Kampsax. 5 min plus tard nous étions dans le couloir de Julien tout à notre aise comme si on était déjà chez nous. La chambre : lieu plutôt sympa lit, bureau, canap', étagères, petite entrée avec salle de bain et toilettes inclus, le top quoi. Juste un petit hic une seule lumière de 5 cm de haut pour éclairer la chambre bonne chance pour les longues nuit de révisions. (Note de Julien : comme si j'allais bosser des nuits entières)


Julien en place, direction Campus Village pour une nouvelle visite d’appart, ou de « Pavillons » comme ils les appellent ici (Note de Julien : ouais, on dit pas container, au bureau des logements ils préfèrent ce terme, va savoir pourquoi ^^). Le nom est plutôt pas mal on s’imagine dans une petite résidence de la région parisienne. Nos pavillons n’étaient en réalité que des préfabriqués déposés en rang d’oignons.


De couleur rouge, en colloc’ avec 9 autres étudiants pas encore arrivés apparemment et en bon état, Campus village est tout à côté de nos salles de cours. Ensuite, j’ai rejoint ma chambre située à un point stratégique du blocos (les containers, ou pavillons, avec l’accent s’il vous plaît) le centre, en face de salle a manger et a côté des machines à laver. Tout pour être en phase avec mes colloc’. Ainsi, je ne raterai aucun apéro, chaque bouteille consignée passera devant ma chambre (Note de Julien : ouais, il faut savoir qu’ici les bouteilles sont consignées, hors de question de faire une collection de bouteilles ^^).


Une fois nos bagages déposés, notre Buddy repart pour accompagner Martine dans son quartier de haut standing (Note de Julien : à Charlottenlund, à 6 bornes de Lyngby et de Copenhague).


Pendant ce temps là, Julien et moi nous sommes partis à la recherche de vivres, car l’eau du campus n’était pas buvable pour les 3 jours à venir, e_bactéries oblige (Note de Julien : e_coli ça s’appelle mais on veut surtout pas savoir ce que c’est). Donc sans eau dans le désert du campus, nous avons rejoint l’épicerie du coin. Evidemment fermée, il faut savoir que le danois ferme très tôt, quelque soit le temps, on arrive trop tard !!!

Même l’administration française est plus joignable.


Sans nourriture, ni eau, nous avons décidé d’aller ou nous allions dans pareille situation en France, le Kebab du coin. A deux pas (au sens propre) de la superette fermée, toujours ouvert il nous dépannera à n’importe quelle heure. Pizza, sandwich, lasagne, Kebab, l’embarras du choix. Nous voilà partis pour une p’tite pizza danoise. Ca donne envie non !!!!! (Note de Julien : NON !!) Malheureusement, l’eau est rare dans ce pays, et oui l’eau coûte aussi cher que la bière. Il n’y avait donc pas d’eau. Nous avons opté pour le Fanta.


Une fois la pizza engloutie, Julien et moi nous avons décidé de visiter le coin, et ben c’est vide, on est bien en août. Après avoir fait le tour du quartier à la recherche d’activité en tout genre, nous n’avons rien trouvé. Après trois heures (Note de Julien : pas autant quand même) de marche effrénée, un tour au centre de Lyngby, sans voir un chat, seulement quelques vélos abandonnés. Ici y en a comme les coquillages sur les plages de Bretagne, y a en a partout. Désespérés nous avons décidé de prendre un raccourci pour rentrer, et là, sauvés, une station service. Un peu d’eau potable dans un frigo, presque un mirage, mais là le drame, nous étions proche du but, et oui 1,5 l d’eau à 34 Kr, de l’or en bouteille, il sont fous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Dépités nous avons repris notre chemin, vers le DTU. Et à cet instant, une illumination, un « pub ». Pas vu un seul depuis 3h30 de marche le bonheur. La soif l’emporta sur notre fatigue, le comptoir derrière nous, ce fut le premier contact avec les pubs danois. Et ben c’est pas facile, la serveuse devant nous, et nous étions incapable de commander une bière même l’anglais ne nous a pas aidé, seul quelques notions de danois nous auraient sauvé. Puis après quelques gestes, déterminant la taille et le nom de bière que nous voulions, la commande était passée. Ouf on va pouvoir se désaltérer (Note de Julien : Comme quoi, le langage de la bière est universel ^^).



Première bière au Danemark, une Carlsberg Spécial. Pour ma part je n’avais jamais autant apprécié une bière merci la chance de nous avoir perdu dans ce coin. Ensuite le retour moins facile, de raccourci en raccourci nous étions un peu perdu. Pas d’accord sur la direction, Julien voulait aller tout droit comme à l’allée et moi prendre Carlsbergvej, enfin un rue avec un nom dans le genre. C’était un genre d’intuition, c comme si la bière nous guidait vers le DTU (Note de Julien : encore une fois, le langage de la bière nous a sauvé). 5 min de marche sur cette route, une petite question à des gens en sens contraire et nous étions arrivés, le DTU était en vue.


Comme quoi ici tout commence par « Carlsberg » et tout fini par « vej ». (Note de Julien : En parlant de 'vej', la rue du Campus Village s'appelle Elektrovej, et se prononce 'électrovaï', mais pour un français, sans l'accent, ça donne électrovèje, et le délire qui en a suivi est resté un jour durant ... Et en parlant de Campus Village, vous savez, Anne et Adri y logent, et ce sont donc des Village People au sens premier du terme)


Petite anecdote la seul marque d’eau aperçue pour l’instant était Carlsberg. Ha ces Danois !!


Encore quelques photos du DTU pour vous montrer comment c'est vert et joli :

(Adri)

Libellés :

Départ ... et arrivée (24/08)

Jeudi 24/08, 11H05

Ca y est, c'est le jour J ! On part avec Adri de Nice, un peu en retard, un peu chargé, mais beaucoup contents !!




Enregistrement des bagages, au revoir à la famille (on reviendra, vous inquiétez pas :D), embarquement, fouille de haut en bas, attente pour cause de passerelle défaillante, départ en retard (du coup), le temps de boire un coup dans l'avion (offert gracieusement par l'hotesse de ligne), qu'on est déjà arrivés ! Et à Paris, ô joie! on a du changer d'aéroport AVEC nos bagages ... en fait, on était pas un peu chargés, mais beaucoup !!

Et on a vus les deux gars qui sont tout le temps déguisés dans les émissions de Cauet, vous savez, Pustule et l'autre là ... bah voilà, eux !







Arrivés à Paris CDG (comme on dit là bas), on a à peine le temps de dévorer un sandwich, que rebelote, enregistrement, embarquement, fouille, pas de retard ici, mais on retrouver Nathalie, qui elle était partie de Bahl-Mulhouse le matin ! Et qui nous attendait depuis trois heures ! Une fois dans l'avion, on boit un coup (ouais le deuxième, mais c'était du jus d'orange), on dort un peu, on admire le paysage (même si l'avion n'est pas mon moyen de transport préféré, la vue magnifique de la Terre vue du ciel vaut vraiment le coup d'oeil) et on atterrit !

Une fois les pieds au sol, on part à la recherche de nos bagages, et une fois récupérés, on se dit que ça y est, on est arrivés, dans un autre pays, avec une autre langue, une autre culture, et que ouais, ça va être bien, même si c'est loin !!

(Julien, Adrish)

Le départ, c’est d’abord se réveiller le matin, tot, très tot. Evidemment, je croyais avoir fini mon sac la veille au soir, et quand on rajoute petites choses sur petites choses, on se retrouve à 25 kg au lieu de 20. J’ai donc tenté de fermer ma valise jusqu’à 2h du mat, avec mon tit frère assis sur la valise !!! Et avec 2 vestes sur le dos, 2 tee-shirts !!!

Puis je suis arrivé à l’aéroport, à 9h30 pour décoller à 11h à Bâle-Mulhouse, arrivée à Paris à 12h30. Puis à nouveau 3h d’attente pour le décollage de Paris direction Copenhague, en attendant les deux zigotos, jul et adri à Paris, car on prenait le même avion. Le vol Paris-Copenhague fût rapide car j’ai dû dormir 1h50 sur les 2h de vol !!!!


(Martine)

Tout commence le 22 août, dernière soirée avec Benoît, pas toujours très facile, mais c’est la première étape, le sac est bouclé, pas moyen de faire demi tour.

Mercredi 23 au revoir à monsieur, encore plus dur, c’est la deuxième étape, arrivée à paris pff, le monde la circulation, le bruit

Jeudi 24. C’est le grand jour, troisième étape, je vais prendre l’avion pour la première fois. Décollage prévu à 10h00, j’arrive donc à 7h15 à l’aéroport (réveil douloureux à 5h45…)

Je suis arrivée avant l’ouverture de l’enregistrement, forcément… L’enregistrement débute, deux kilos de trop, 14 € supplémentaires, ça faire cher le kilo…

Décollage impeccable, même pas stressée (contrairement à ma voisine qui suait…), vol sans embûche par contre il y avait des nuages, pas terrible pour un premier vol près du hublot…


Atterrissage toujours sans problème, arrivée à Copenhague, il faut que je récupère mes sacs, tout se passe comme prévu.

Arrive le plus dur, parler anglais pour demander un ticket de train pour une station qui se prononce à la danoise…Au final j’ai quand même mis 1h30 pour aller jusqu’à la fac…


(Anne)

Libellés :

Avant de partir ...

Comment on en est arrivés là ...

Au départ, une école d'ingénieurs, l'ENSIM, école d'ingénieurs en systèmes de mesure, vibrations et acoustique. Qui propose de partir en troisième année pour finir son cursus ingénieur à l'étranger, ou même pour faire un Master Acoustique (!!) si on a la motiv' qui va avec.

La personne responsable des R.I. (comprenez par ce dialecte Relations Internationales, abréviation très utile quand on doit le dire 742fois en un jour) nous propose donc pour nous, Options Vibrations/Acoustique, de partir soit au DTU (Lyngby, DK), à l'ISVR (Southampton, UK) ou Loughborough (UK aussi) pour les études (le stage, c'est autre chose).

Après moultes péripéties (lettre de motivation pour partir à remettre à des profs, attente interminable pour les élèves, pour des résultats ne correspondant pas forcément – et souvent pas d'alleurs - aux choix demandés), on se retrouve à partir à quatre au DK, deux pour six mois et deux pour deux ans.


Où on va ?


Vous voyez Copenhague ? A une demi heure de là se trouve Lygby (prononcez Lungbu), ville autrefois détachée de Copenhague (København), fait désormais partie de la banlieue de la capitale, et c'est ici que se trouve le Denske Tekniske Universitet, le DTU pour les intimes, et c'est là que nous allons.




La joie des préparatifs, que t'es même pas encore parti que t'en as déjà marre de la paperasse à faire ...

Alors on est pas encore parti qu'il faut déjà (et c'est que le début du début, genre vers le début quoi) faire des tas de paperasses 1) pour dire que oui on VEUT partir 2) pour trouver un peu de monnaie par les bourses

1) Première épreuve du combattant, faire une lettre de motivation pour les professeurs, pour dire oh que oui je suis motivé pour partir. Là, faut compter un mois avant d'avoir des retours, et certains ont eu des surprises, ils pouvaient aller ... là où ils ne demandaient pas ^^ Bon, finalement, tout ceux qui demandaient (sauf ... une personne) partent, pas forcément là où ils voulaient, mais ils sont content quand même.

Ensuite, maintenant que les profs sont ok, faut faire la demande à l'université parce que mine de rien, ils prennent pas n'importe qui (bon un peu, parce que j'y suis mais c'est l'exception :P)

Et là, autant pour les filles qui partent six mois ça s'est bien passé que pour Adri et moi, horreur !! La date d'expiration pour remettre son dossier était passer de ... 15 jours. Et c'est à ce moment qu'on reconnaît la grandeur du chargé des R.I, parce qu'en un coup de mail magique, il nous permet quand même d'envoyer notre dossier (en retard) et pour ça on a ... une semaine. Bon, ça se fait, mais faut s'accrocher hein :

  • bulletins de notes en ECTS siouplait (merci Miss Wesson pour le boulot, l'a fallu repasser toutes nos notes en crédit ECTS)

  • lettres de motivation (et pas une, mais deux, histoire qu'on pipote pas)

  • un CV (en Anglais hein, forcément)

  • divers papiers

  • et et et ... la lettre de motivation, et en Anglais c'te fois !!

Alors après, comme on a plus le temps d'envoyer ça par voie aérienne normale, on fait appel à DHL. Bah paie ton envoie de dossier ... Mais bon, ça arrive le lendemain aussi, avant midi.

Et là, quelque temps après, on a reçu une lettre qui disait que nous sommes acceptés à condition de ne pas souffrir d'une maladie sérieuse.


2) Alors les bourses, c'est jouasse aussi. On a plein de dossiers à remplir, pour en donner que deux au final, avec des papiers qu'il faut récupérer, d'autres à faire signer par le Directeur, et des tas de tonnes de justificatifs, comme dans tous les dossiers quoi.

Alors on a droit à : Bourse ERASMUS, Bourse régionale, Bourse du M.E.N (si boursier sur critères sociaux) et Bourse d'Excellence.

MAIS !! Si on part deux ans, il vaut mieux demander seulement ERASMUS la première année, et la Bourse régionale la deuxième, parce que ça fait plus de sous

ET !! On ne peut pas demander et Bourse d'excellence et Bourse du M.E.N en même temps.

Ca, c'est que j'ai compris à force de faire des aller retours au bureau des R.I.

Donc, remplir les dossiers, demander des lettres de recommandation à des profs la veille pour le lendemain (on leur a déjà fait le coup pour le dossier à envoyer au DK, alors ils on moyennement appréciés :( ), trouver tous les papiers nécessaires, et attendre une réponse.

Qui ne vient pas pour ma part pour une certaine Bourse ... Après tout, je pars que Jeudi et je sais toujours pas à combien de thunes j'ai droit.


Et une fois qu'on est pris ...


Une fois que tout ça c'est fait et qu'on est pris, reste la joie des préparatifs proprement dits.

Faire les démarches pour trouver une couverture santé à l'étranger, se procurer un passeport, une carte Vitale Européenne, se poser quelques questions sur comment et où on va être logés (le DTU s'en occupe, mais ça met parfois du temps à venir), recevoir du courrier du DTU pour t'informer sur la vie du Campus, se renseigner sur les opérateurs de téléphonie ... Et j'en passe !


Avec tout ça, on est presque prêts à partir :D

Libellés :

15 août, 2006

Présentation

Salut tous
On vient de s'y mettre, alors aujourd'hui c'est le temps des présentations !


Adrien est un ptit gars sudiste, qui aime rire, faire la chouille jusqu'à pas d'heure, et qui n'est jamais fatigué.Toujours partant et motivé pour faire quelque chose (boire l'apéro par exemple), il sait motiver les troupes!!!
Physiquement, beau gosse, cheuveux noirs un peu bouclés, yeux foncés, bronzé comme un sudiste quoi.
Ce petit gaillard part pour 2 ans au Danemark, pour trouver peut être la danoise qui lui fera tourner ses bouclettes!!!

(Martine)

Incontestablement la plus bretonne de nous 4, même après deux années de cohabitation avec nos amis Bretons, il est tout simplement impossible de rivaliser, galette, bière et Festoù-noz jusqu’au bout de son piti doigt, les sudistes (même ceux de l’Alsace) n’ont qu’à bien se tenir.

Une petite Description pour ceux qui ne la connaissent pas : Anne, le teint British, bonnet multicolore, pouvant illuminer n’importe quelle nuage, le sourire aux lèvres, une motivation à toute épreuve, bref quelqu’un qu’on a hâte de cotoyer.

Armée de son violon, de sa bonne humeur et d’un caractère à faire frémir un pilier de comptoir, elle est prête à affronter la danemarkie et ses joueurs de badminton hors pair.

Mais Anne cache quand même une botte secrète sur des feuilles volantes !!!! Afin de maintenir son niveau de comptabilité, tréso oblige, elle pratique l’Art du Sudoku, pour se détendre.

Que dire de plus, à part que intarissable sur la musique et toujours dans la fosse aux concerts, Anne ne lésinera pas à nous suivre dans nos soirées endiablées jusqu'à que le soleil se lève, ou que le froid nous gèle.

(Adri)

Julien,
c'est le genre de mec qui a toujours du être celui, vous savez, celui qui dépasse d'une tête tous les camarades de sa classe.
Mais il est capable de se faire remarquer autrement.
Au cours de badminton, on l'appelle Monsieur souplesse ou comment réussir à toucher ses genoux avec ses mains les jambes tendues (Wahoo!!)...On l'appelle également Monsieur jaibesoindedeuterraintellemenjejoufor, c'est un peu long à dire mais ça se fait très bien.
A l'école c'est Monsieur Gala, pas parce qu'il a la grande classe en portant tous les jours son costume trois pièces mais parce qu'il a mis toute son énèrgie pour que ça se passe bien. On l'appelle aussi Monsieur Sudoku, ainsi que son collègue Maxime, ou comment faire passer un cours plus rapidement. Dans un registre plus sérieux, c'est également un des Monsieur J'ENSIM, ou celui qui dit ouvertement ce qu'il pense du boulet de l'équipe...
En soirée, et c'est personnel, je l'appelle Monsieur Balcon, il se reconnaitra...

Voilà, tout ça nous fait un gars bien sympa...

(Anne)

Alors Martine, c'est l'Alsacienne du groupe, celle qui est toujours partante pour une soirée et jamais d'accord pour en repartir. Pour vous dire, faut attendre la fermeture des bars pour la stopper. Là d'où elle vient aussi, la bière c'est limite la boisson des enfants, alors aujourd'hui, on s'étonne pas que rien ne puisse l'arrêter.

Toujours de bonne humeur, le sourire aux lèvres, elle est aussi toujours d'attaque pour bosser. Même un exam elle le bosse avec le sourire ... J'comprends pas.

Martine, c'est pas son vrai prénom aussi, c'est juste un surnom. Toute petite elle dévorait les Martine à la ferme, en camping, à la cuisine, aux toilettes, en train de picoler ... et ça lui est resté ! Aujourd'hui encore, Martine relit ces vieilles aventures pleines de suspense, de rebondissements ...

Ah, encore un truc super important : Martine est une voileuse hors pair, qui manie le piano (du bateau, et le vrai aussi) comme personne, et qui nous l'a encore prouvé cette année lors de la régate du Trophée Quantel, à laquelle l'équipe est arrivée seconde sur 11 !!


(Julien / LpM)


Et avant de partir, viendront les péripéties de comment on en est arrivés là (ou la joie de pré-préparatifs) et la joie de faire sa valise !!

A bientôt :D

Libellés :